venerdì 22 giugno 2012

Nella letteratura


Sun Tzu - L'arte della guerra (ca. 771 - 476 aC)
14.Ricorda, gli elementi della strategia militare sono cinque: primo, misurazione dello spazio; secondo, valutazione della quantità; terzo, calcolo; quarto, confronto; e quinto, probabilità di vittoria.
15.Le misurazioni dello spazio si deducono dal territorio.
16.Le valutazioni della quantità si deducono dalle misurazioni, i calcoli della quantità, i confronti dai calcoli, e la probabilità di vittoria dai confronti.
17.In tal modo, un esercito vittorioso stabilisce un rapporto di cento contro uno, e un esercito sconfitto quello di uno contro cento.

Plauto citato in Aulo Gellio - Notti attiche (159)
 «Maledicano gli dei colui che per
primo inventò le ore
e collocò qui la prima meridiana.
Costui ha mandato in frantumi il
mio giorno di povero diavolo.
Quando ero giovane, infatti, l'unico
orologio era lo stomaco
...assai più preciso e migliore di
questo aggeggio moderno.» 


Charles Dickens - Hard Times (1854)
THOMAS GRADGRIND, sir. A man of realities. A man of facts and calculations. A man who proceeds upon the principle that two and two are four, and nothing over, and who is not to be talked into allowing for anything over. Thomas Gradgrind, sir-peremptorily Thomas-Thomas Gradgrind. With a rule and a pair of scales, and the multiplication table always in his pocket, sir, ready to weigh and measure any parcel of human nature, and tell you exactly what it comes to. It is a mere question of figures, a case of simple arithmetic. You might hope to get some other nonsensical belief into the head of George Gradgrind, or Augustus Gradgrind, or John Gradgrind, or Joseph Gradgrind (all supposititious, non-existent persons), but into the head of Thomas Gradgrind-no, sir! [...]
Indeed, as he eagerly sparkled at them from the cellarage before mentioned, he seemed a kind of cannon loaded to the muzzle with facts, and prepared to blow them clean out of the regions of childhood at one discharge. He seemed a galvanizing apparatus, too, charged with a grim mechanical substitute for the tender young imaginations that were to be stormed away.

Jules Verne - Voyage au centre de la Terre (1864)
Quarante-huit heures restaient encore à passer ; à mon grand regret, je dus les employer à nos préparatifs ; toute notre intelligence fut employée à disposer chaque objet de la façon la plus avantageuse, les instruments d’un côté, les outils dans ce paquet, les vivres dans celui-là. En tout quatre groupes. Les instruments comprenaient :
1° Un thermomètre centigrade de Eigel, gradué jusqu’à cent cinquante degrés, ce qui me paraissait trop ou pas assez. Trop, si la chaleur ambiante devait monter là, auquel cas nous aurions cuit. Pas assez, s’il s’agissait de mesurer la température de sources ou toute autre matière en fusion.
2° Un manomètre à air comprimé, disposé de manière à indiquer des pressions supérieures à celles de l’atmosphère au niveau de l’Océan. En effet, le baromètre ordinaire n’eût pas suffi, la pression atmosphérique devant augmenter proportionnellement à notre descente au-dessous de la surface de la terre.
3° Un chronomètre de Boissonnas jeune de Genève, parfaitement réglé au méridien de Hambourg.
4° Deux boussoles d’inclinaison et de déclinaison.
5° Une lunette de nuit.
6° Deux appareils de Ruhmkorff, qui, au moyen d’un courant électrique, donnaient une lumière très portative, sûre et peu encombrante.

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